La belle chienne se levas dans une sombre carcasse de restaurant, elle se leva et s'étira et entrepris de lècher son beau pelage soyeux, son nouveau corps n'étais pas si mal, elle était belle à dormir debout, ses yeux vairons scrutais l'ombre scrupuleusement à la recherche d'une toute petite proie n'étant pas un chien... elle remarqua un rat, si elle le chassait puis le mangeais elle devra courir les rue à la quête d'une nourriture au goût délicat pour enlever le goût barbare de la bête au longue dent rectangulaire... Elle décida donc de sortir chercher dans les poubelle, et puis zut ! Elle ira donc pêcher un jolie poisson au fumet doux.

Vagabondant gracieusement à travers les structures à l'agonie elle remarqua une drôle d'odeur, comme c'elle de plusieurs chiens aillant la même odeur... Les idée se bousculèrent dans sa tête, lorsqu'elle étais humaine on lui avait raconté une histoire grecque du cerbère : le terrible chien aux trois têtes gardiens des enfers brrr trois têtes c'est égal à trois fois plus de morsure, elle frissonna un moment. Puis sont ventre lui remis les idées au clair, une seule chose : la faim. Elle fit une tête grimaçante, et se remise à courir à travers les ruelles à moitié détruites puis fini par trouver la nature, la forêt verte pleine de vie, de couleur, d'odeur, ahhh la forêt ce bel endroit que même quand elle était adolescente , elle l'adorait tant, celle ci c'étais métamorphoser depuis sa mort humaine.

Décidant d'aller explorer encore plus cette forêt elle tomba sur un jolie ruisseau, elle entrepris de suivre ce petit ruisseau et vus un poisson sauté "Plouf !" Une tête de poisson apparût, elle le regarda avec des yeux invoquant la curiosité, "Sflock !" la tête disparût elle le voyais filer à toute vitesse, et fini par se jeter à l'eau, quelque chose la piqua à la patte avant droite, elle couina et nagea aussi rapidement qu'elle put et pris le poisson entre ses crocs et le tua, elle remonta sur la berge le souffle rauque... Que c'étais dur la pêche ... elle commença a manger le poisson et vus que sa patte saignait pas mal. Shara se coucha sur une des pierre lisse et lêcha sa patte en couinant doucement ... Tout en disant en rafale inquiète :

- «  Il faut que sa parte, sinon je ne survivrais pas, même si les blessures sont le lot des sans-meute... Il faut que sa parte, sinon je ne survivrais pas, même si les blessures sont le lot des sans-meute... »

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